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Historique de l'inventaire
La Paroisse Saint-Martin est enrichie en histoire sur les divers instruments qui ont chantés dans ces lieux, car sous l’ancien régime elle était la plus riche de la ville. Seulement les pistes sont vagues.
Les premiers instruments étaient placés en nid d’hirondelle, le premier orgue en fond de nef fut posé en 1689, dans l’ancienne Chapelle Saint-Michel, situé au-dessus du narthex : Note en 1689 « Il y a encore en chapelle au bout de l’église en haut prêt de l’orgue avec un autel dédié à Saint Michel », qui fut déplacé en 1979, pour la construction de l’orgue. On suppose qu’il s’agissait d’un orgue de Claude Legros, seul facteur à Metz. Cet Orgue fut démonté 40 ans plus tard, donc certain disent qu’il pourrait s’agirai d’un orgue d’occasion. La paroisse était intéressée par l’arrivée d’un Nouvel Organier, Joseph Le Picard, il signa un contrat d’orgue neuf le 20 décembre 1727, un orgue de 27 jeux sur 3 claviers et pédalier accroché.
L’orgue devait être achevé pour Noël 1728, mais on ignore si ces délais assez courts furent tenus, durant la vie de l’instrument au 18ème siècle et c’est à partir du 13 février 1794 qu’il est mis en vente et il disparut sans être remonté ailleurs. Dés le rétablissement du culte, un petit orgue provisoire fut installé, c’était l’orgue de la paroisse Saint Gengoulf de Christophe Moucherel en 1727, c’est un particulier qu’il l’avait acheté, puis vendu ou mis à disposition de la Paroisse Saint-Martin, puis, dans l’année 1802, la Paroisse décida que le petit orgue était trop modeste pour les balustres qui venait d’être fabriquées, ils profitèrent donc d’une nouvelle occasion pour changer l’instrument.
Jean-Baptiste Maugérard (1735-1815), ancien moine de l’abbaye Saint-Arnould, était depuis 1802, Commissaire du Gouvernement pour la recherche des Sciences et des Arts dans les quatre départements annexés du Rhin. A ce titre il était très informé sur les orgues disponibles par la Sécularisation des Abbayes et Couvents. Le 3 mars 1803, il adressa une lettre à la Paroisse Sainte-Ségolène, en expliquant qu’il provenait le l’Abbaye de Clausen (Klausen), qui est situé à une cinquantaine de kilomètres au nord-est de Trève. Mais ils ont refusé à cause du prix, de la taille sur la tribune. Il fut proposé à la Paroisse Saint Martin qui accepta et l’acheta le 5 août 1803, le remontage de l’instrument fut confié à Pierre Grandjean, qui mit près d’un an pour cela, puisque la réception eut lieu le 25 juillet 1804 assuré par les experts Dufy et Thirion. Mais il fallait vendre le petit orgue, ils ont fait l’offre à la Paroisse Saint Ségolène qui hésita encore. Alors finalement c’est la Paroisse Saint-Simon-au-Fort, actuellement Saint-Simon-Saint-Jude.
L’orgue de l’Abbaye de Clauden était l’œuvre de Romanus Benedictus Nollet, un grand facteur établi à Trèves, constructeur avec son fils Johann Bernhard de l’orgue de L’abbaye d’Orval, qui était le plus grand instrument d’Europe avant sa destruction en 1793. Le Buffet porte la date de 1773, mais le payement traina peut être jusqu’en 1777, c’était un orgue de 38 jeux sur trois claviers de 50 notes et un pédalier de 18 notes. La facture des Nollet était apparentée à l’esthétique Française, mais avec de nombreux traits empruntés à l’esthétique Allemande rhénane (Buffet à fleur de tribune avec console latérale, troisième clavier complet, jeux gambés, tuyaux des principaux riches en plomb, jeux caractéristiques comme la voix Angélique 2 ou le Tintinabulum, etc.).
Les 15 et 17 juin 1821, le conseil de fabrique examina des devis établis par plusieurs facteurs et porta son choix sur celui de Grégoire Rabiny, installé à Metz après avoir reconstruit l’orgue de Saint-Vincent. Dans son devis du 8 juin 1821, il remarqua que lorsque l’on avait remonté l’orgue à Saint-Martin, on aurait eu « Besoin de la main d’un facteur habile », et préconisa un relevage approfondi avec restauration des sommiers en atelier. Le traité avec Rabiny fut signé le 19 juin, pour une somme ramenée de 1 523F à 1 200F. Rabiny se mit au travail. Dés le 18 août, il proposa des modifications sur la composition, pour 400F, en plaçant la Bombarde de Pédale sur le sommier du Grand-Orgue, en décalant la Trompette sur la chape du Clairon et le Clairon sur la chape de la Voix Angélique 2 supprimée. Mais cette proposition ne fut pas agréée par le conseil de fabrique et les travaux se déroulèrent comme prévus initialement. Seule la Tierce du Positif semble avoir été décalée ou remplacée par une « Octave-Doublette », soit un Sifflet de 1’. En 1826, Rabiny répara pour 30F des tables et des éclisses de soufflets fendues par la sécheresse de l’été 1825.
Le 6 avril 1830, soit moins de 10 ans après son intervention, le facteur déposa un nouveau devis de relevage, s’élevant cette fois à 650F. En réalité, les dépenses furent beaucoup plus lourdes que prévues : la fabrique versa 750F en 1830, à nouveau 750F en 1833, encore 850F en 1834. Jusqu'à sa mort en 1837, Rabiny entretenait l’orgue pour 100F par an, ensuite remplacé par l’organiste Henry.
L’arrivée en 1841 d’un nouveau curé, l’abbé Verdenal, amena le conseil de fabrique à se pencher une fois encore sur le sort de l’orgue. Ce prêtre dynamique, non content d’acquérir un presbytère et une maison pour le vicaire, de construire une seconde sacristie et des salles de catéchisme, s’engagea avec enthousiasme dans la réforme du chant liturgique et la restauration du plain-chant. Encore fallait-il avoir un orgue adapté à sa nouvelle fonction d’accompagnement. Or le 27 juin 1842, Girard directeur-gérant de la maison Daublaine-Callinet, de Paris, invita le président du conseil de fabrique à venir voir un orgue de chœur de 18 jeux que la manufacture parisienne allait exposer sous peu à la Cathédrale de Metz, dans l’espoir de se voir la construction du Grand-Orgue.
A l’automne, l’abbé Verdenal reçut la visite de Felix Danjou, organiste de Notre-Dame et Saint Eustache à Paris, qui lui exposa en quoi consistait la réforme de la musique liturgique entreprise depuis quelques années à Paris. Pour lui, « le chant et le chœur à l’orgue, c’est là le principe de la réforme ».
L’organiste Parisien s’engagea à revenir à Metz, pour former les paroissiens à ces nouvelles pratiques. Il profita bien entendu de sa venue pour recommander chaudement la maison Daublaine-Callinet, donc il était le représentant, signant le 28 novembre 1842 un rapport sur l’orgue de Saint-Martin. S’il loua les jeux, « d’un bon diapason et susceptibles de produire des sons puissants et harmonieux », bien que rendu « désagréables, discordans et inégaux » par un mauvais entretien, c’est pour mieux critiquer la mécanique, les sommiers et la soufflerie, qu’il proposait de faire du neuf. Il de semble pas avoir cru à la volonté de la paroisse d’entreprendre une telle reconstruction puisqu’il se contenta de joindre à son rapport un devis de 500F pour la réparation de première nécessité.
Mais l’abbé n’entendait pas s’en tenir à des demi-mesures. Le 30 janvier 1843, il diffusa auprès de ses paroissiens un tract imprimé qui expliquait pourquoi il fallait opter pour la « reconstruction générale du mécanisme » et lançait une souscription triennale pour le financement des travaux, le conseil de fabrique étant trop endetté pour supporter ces nouvelles dépenses. Selon lui, aux chantres salariés accompagnés dans le chœur par le traditionnel serpent, il fallait substituer « une trentaine d’enfants ou d’adulte choisis par la paroisse » qui exécuteraient le plain-chant et la musique sacrée à la tribune, accompagnée par l’orgue et sous la direction de l’organiste. Outre l’embellissement des offices, cela permettrait d’amener plus d’hommes à l’église et de fidéliser les enfants à la religion. Cette nouvelle mission imposait de reculer l’orgue pour dégager une tribune plus vaste au milieu de laquelle l’organiste régnerait depuis sa console indépendante. L’appel de l’abbé fut entendu, puisque la souscription rapporta 8 976F en trois ans, auprès de 190 souscripteurs.
Mais la réalisation de ces nobles ambitions ne combla pas toute les attentes, comme en témoigne une abondante correspondante échangée entre la paroisse et la maison Daublaine-Callinet. Tout commença pourtant pour le mieux. Encouragé par le conseil de fabrique, le 13 février 1843, l’abbé demanda à Girard un devis de reconstruction. Un premier fut envoyé le 21 février, prévoyant de reculer l’orgue de quelques mètres, de renouveler toute la partie mécanique et d’éliminer quelques jeux aigus. Le conseil de fabrique y répondit aussitôt, souhaitant le maintien de la Voix Humaine, « reconnue pour essentielle par les artistes », et réclamant un Gambe, « si utile au chœur de chant ». Egalement consulté, l’abbé Schmitt, curé de Plappeville et expert respecté, recommanda un pédale de 25 notes limitée à une Flûte 8’, une Flûte 4’ et Bombarde 16’ complétée.
Le 2 mars, Girard envoya à Metz l’un de ses contremaîtres, Théodore Sauer, qui nota la composition trouvée et remania légèrement le devis de février en le portant à 11 935F, proposition aussitôt contresignés par les fabriciens. Avant même que les travaux aient commencé, on engagea le 1er mai un brillant organiste, Charles Wirth, élève de Choron à Paris, familier de Fétis, de Hiller et même de Mendelssohn. Wirth était également compositeur de piano, auteur d’une méthode d’orgue et d’un livre introuvable intitulé « l’Orgue, son mécanisme et sa manière de l’accorder ». On lui offrit 600F annuels comme organiste et 200F pour les heures hebdomadaires de répétition du nouveau chœur. Wirth ne profita guère du nouvel orgue, puisqu’il mourut dés le 12 octobre 1845, à l’âge de 39 ans.
Le 24 mai 1844, Joseph d’Orligue, théoricien bien connu et l’un des directeurs de Daublaine-Callinet, annonça la venue imminente de Lorot pour entamer les travaux, qui a été retardé par un problème de santé, ce qui retarda son arrivée, c’est en fin juillet qu’il arriva. Les ouvriers démontèrent l’instrument en août et reculèrent la boiserie.
Les choses se gâtèrent quand l’Abbé Verdenal découvrit qu’une console en fenêtre était en train d’être posée et non la console indépendante qu’il disait indispensable pour la direction du chant par l’organiste, clef de voûte de tout son projet liturgique. Mais il avait un devis de Sauer avec trop de hâte, sans même prendre le temps de le lire en entiers et ce devis ne prévoyait nullement une console indépendante. Après une lettre courroucée du prêtre à la maison Daublaine-Callinet en protestant la bonne foi de la manufacture, celle-ci chiffra le coût d’une console indépendante à 1 500F et 2 500F pour la machine Barker rendue nécessaire pour une mécanique plus compliquée.
Le conseil de fabrique se crut berné et fit aussitôt arrêté les travaux. Danjou fut alors chargé d’une mission de bons offices et écrivit le 13 novembre au curé pour tenter de raisonner en s’appuyant sur l’opinion de Wirth, qu’il avait rencontré à Paris et qui se disait prêt à diriger une chorale depuis une console en fenêtre. Mais il n’en fit rien et persista de son désire d’avoir une console indépendante et sa machine Barker, l’entreprise du s’incliner et du fabriquer les ensembles ce qui à donné du retard aux travaux et comme si ça ne suffisait pas, l’harmoniste Delort qui devait se charger des fonds était retenu à Limoges. Enfin l’orgue n’a pas pu être fini pour Noël comme prévu.
C’est finalement le 29 mai 1844 que l’on procéda à la réception des travaux, pour cela le conseil à fait venir l’abbé Schmitt et Henri Hess, organiste de la Cathédrale de Nancy et les deux organistes messins Klein et Wirth, tandis que la maison Daublaine Callinet avait invité les organistes Bour, de la Cathédrale de Metz, et Gazeux. Félix Danjou ne put venir, retenu à Paris par les offices de Pentecôte et surtout par l’inauguration de l’orgue de Saint-Eustache par Adolphe Hesse, de Breslau.
Aussitôt la Réforme musicale voulue par l’Abbé Verdenal fut mis en œuvre. On commanda 100 exemplaires de la méthode de chant de l’Abbé Durassier et 110 exemplaires de la traduction du Plain-Chant. Le droit d’usage de l’orgue fut abaissé de 5F à 3F, pour « inciter les fidèles à réclamer l’orgue plus souvent ». Le salaire de la souffleuse passa de 40F à 60F, en raison des efforts supplémentaires que demandait le nouveau mécanisme. L’orgue avait coûté à la fabrique 12 857,14F.
Finalement, on ne tarda pas à se plaindre du nouvel instrument qui perdait du vent, cornements et des dérèglements. Le 6 juillet 1846, l’abbé envoya un courrier cinglant à la manufacture récemment rachetée depuis peu par Ducroquet en marquant «Je regrette infiniment qu’une maison comme la vôtre n’apporte pas plus de soins à la confection de semblables travaux ». Le 4 février 1847, il réitéra ses plaintes en menaçant de suspendre les versements des sommes encore dues : « Les cornements sont généraux. Ce sont les claviers tout entiers qui ne peuvent plus être joués parce que tous les jeux gémissent de la manière la plus lamentable, les touches du grand orgue s’accroches les unes au autres ; le clavier du Positif fait parlé le Récit éco ; un tel état de chose n’est plus tolérable ».
Devant un tel assaut de mécontentement, Ducroquet envoya son contremaître Barker, qui vient à Saint Martin le 10 mars 1847, étudia le problème et nota que les problèmes mécaniques ne venaient pas de la conception mais de l’incapacité de l’organiste qui n’arrivait pas à la régler et que le console indépendante ne facilitait pas les choses. Mais le curé n’étais pas convaincu par les dires de Barker, il demanda une « réédification complète de la mécanique » en refusant le paiement du solde. Le 2 février 1848, Ducroquet revint à la charge avec une réponse précise du Facteur « Dans toutes les orgues à claviers éprouvent souvent ce besoin d’être réglés, mais jamais on n’appel le facteur pour des choses aussi insignifiantes, puisqu’il s’agit en définitive de serrer ou desserrer des écrous. » Il proposa donc de renoncer à l’entretien de l’orgue, à condition qu’on le relève de sa garantie, et se plaignit du rôle joué par Sauvage ancien contremaître de la maison Daublaine-Callinet, à présent établi à son compte, qui aurait suscité « une grande partie des récriminations ». Finalement, de guerre lasse, la fabrique céda et décida en octobre 1848 de renoncer au procès envisagé et de payer le solde des travaux de 1843. Un an plus tard le contrat d’entretiens fut rompu et c’est Sauvage qui récupère l’accord annuel. A partir de ce moment l’orgue semble mieux fonctionner, avec un entretien plus régulier par un facteur habitant à 5 minutes.
En fait, l’orgue de Saint-Martin était assez atypique dans la production de Daublaine-Callinet, peu conforme à ce que l’on pouvait attendre d’un orgue romantique. L’orgue comptait 33 jeux de Nollet et 3 jeux neufs (F8’-F4’ et Htb8’ du Récit) mais il reste des chapes vides qui auraient pu être complétées par des jeux qui affirmeraient son Romantisme (3 au GO, 3 à la Péd, et peut-être une au positif).
C’est 30 ans plus tard que l’orgue fut complété. En 1875, ils décidèrent d’agrandir l’espace de la tribune pour laisser place à une chorale en pleine expansion, en reculant l’instrument jusqu’au mur et le surélevant su un grand podium afin d’y placer la soufflerie, mes ces projets durent mis en questions à cause du départ du curé, le Chanoine Fleck, nommé évêque de Metz, mais son successeur l’abbé Kieffer, qui payé ces travaux sans discuter avec ses propres fonds. Mais en appelant cette fois-ci un facteur Mosellan Jean-Frédéric Verschneider. Le devis fut établi pour le déplacement de l’orgue et pour le complément de jeux neufs sur les chapes vides. En cours de travaux, ils décidèrent de changer le clavier du Grand-Orgue, poser une Gambe neuve, confectionner un nouvel escalier et d’ajouter un trémolo.
Le 19 mai 1877, Verschneider toucha finalement 7 550F, soit 550F de plus qu’au tarif de base indiqué sur son devis. En octobre 1879, il ajouta une tirasse du Grand-Orgue et la Voix Humaine au récit. Moins de 20 ans plus tard, une nouvelle transformation fut mise en chantier, confiée au début de 1894 à Jean Blési, de Nancy et Château-Salins, pour une dépense prévue de 7000F. Mais la maladie l’emporta en mars 1894, mais cela n’a pas remis en cause les travaux, c’est sa veuve avait toute confiance dans son contremaître Fréderic Rodolphe Bartholomaei et en son beau-frère Jacques Blési, les futurs associés de la maison Bartholomaei & Blési, de Château-Salins. Les devis rédigés par Bartholomaei les 4 et 12 juin 1894 furent adoptés par le conseil de fabrique, pendant le mutisme de l’instrument, il loua un petit orgue de 4 jeux. Lorsque la maison Blési fut revendue à Charles Didier-Van Caster, celui-ci écrivit en novembre 1894 pour reprendre à son compte le chantier, mais la paroisse est fidèle à Bartholomaei. La réception des travaux eut lieu le 21 février 1895 avec la présence des organistes Albrecht, Lajeunesse et Thiriot respectivement titulaire de Saint-Martin et de la Cathédrale Saint-Vincent. Selon le rapport qui fut établi a cette occasion, une nouvelle console et une nouvelle machine Barker fut installées, 9 jeux neufs ont étés posés, au Récit qui est passé de 8 à 12 jeux et une étendue de 54 notes, faisant de l’orgue une esthétique Symphonique.
Les tuyaux de façade n’ont pas étés réquisitionnés grâce à un certificat de l’architecte Wilhelm Schmitz attestant la valeur historique de ces tuyaux qui fut signé le 12 février 1917. En 1925-1926, Fréderic Haerpfer proposa de remplacer deux réservoirs « défectueux » par des réservoirs neufs, poser un nouveau pédalier et remplacer un Salicional par une Eolienne et de nettoyer l’instrument pour 23 360F. En 1931, il posa des bagues mobiles sur les tuyaux coupés au ton et changea des languettes sur une partie des jeux d’anches.
En 1942, André Guébel, présenta un devis de réparation qui à peut être été exécuté. En 1950 la maison Roethinger qui changea la console et procéda à l’électrification de l’orgue entier, il fut inauguré le 22 avril 1951 par Jean Giroud. En 1961, la manufacture proposa le changement de la boîte expressive, par une nouvelle en Acajou mais le projet est resté sans suite.
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